jeudi 20 mars 2014

GUERIR L'AME POUR SOULAGER LE CORPS


GUERIR L’AME POUR SOULAGER LE CORPS

IRENE LANDAU     PSYCHOTHERAPEUTE

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le Décodage psychosomatique ,  ne concerne pas exclusivement quelques cas isolés, réfractaires à la médecine conventionnelle, puisqu’ on sait aujourd’hui avec certitude que 100% des maladies et des symptômes trouvent leur cause dans le psychisme !  
Cette technique  révolutionnaire est donc un adjuvant essentiel de la médecine.

Chaque cas est un monde en soi : un lieu de souffrance qui exige d’ être écouté  et  compris. Un thérapeute est un détective qui capte les non-dits et les émotions  profondes qui sous-tendent la souffrance d’autrui. Car les véritables causes des douleurs à la fois physiques et psychiques, ce ne sont pas forcément les microbes ou les virus, mais ce sont les ressentis cachés, les conflits ingérables, les soucis inexprimables, les chocs , la honte, les traumatismes petits ou grands, vécus ici et maintenant ou transportés parfois tant bien que mal de génération en génération. 
Il faut  partir en un voyage lointain vers le fond de l’ âme  du patient afin de découvrir avec lui la cause véritable de sa maladie, de son symptôme, de son malaise. 

C’est un travail de compréhension, mais aussi de traduction. Il faut aider le patient à traduire un malaise flou ou une maladie parfois très grave dans le langage de ses émotions profondes.Toutes les maladies ont leur origine dans des blocages inconscients. Lorsque la bouche se tait, c’est le corps qui s’exprime. 
Pour guérir, il faut accepter de parler, mais pas n’importe comment, ni à n’importe qui.

Diabète, cholestérol, fatigue chronique, douleurs, maux de dos, sciatique, hyperactivité, schizophrénie, stérilité, surpoids, dépression nerveuse, cancer, leucémie,Paralysie, sclérose en plaques,....Tous ces symptômes ont un sens profond, une signification précise et ne frappent jamais par hasard. 
En thérapie, grâce aux découvertes de pointe, nous connaissons actuellement les conflits précis qui sont à l'origine de chaque symptôme, psychique ou physique, ce que la médecine ignore malheureusement jusqu'à présent.
Le thérapeute doit guider le patient, l’aider à comprendre  ce qu’il tente d’exprimer maladroitement grâce à ses symptômes, mis en scène d’une manière bien particulière. 
La maladie est un langage spécifique qu’il faut savoir décrypter.

Malgré les immenses progrès de la médecine moderne,  il est impensable aujourd’hui de ne traiter  exclusivement que le corps, car la guérison est spirituelle et les maladies sont avant tout des troubles de l’âme. Il est essentiel de réharmoniser ses émotions pour arriver à la guérison. 
La santé, c’est l’harmonie, la sérénité, la joie de se sentir enfin en accord avec soi-même, délivré de ses conflits et de ses obessessions.    


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DECODAGE DE L'HYPERACTIVITE


LE VERITABLE DECODAGE DE L’ HYPERACTIVITE             
                             
De plus en plus d’enfants, d’adolescents et même d’adultes sont de nos jours diagnostiqués “hyperactifs” :(TDAH : Attention -deficit-hyperactivy desorder).  Les principaux symptômes sont : l’inattention, la distraction, l’agitation,
et de grandes difficultés  de concentration (en anglais ADD :Attention, deficit desorder).  
Impulsifs, Impatients, nerveux, inquiets, différents, agités, ce sont des êtres qui dérangent et épuisent leur entourage.
Ils ont du mal à trouver leur place dans les structures scolaires habituelles et sont marginalisés. De plus en plus d’enfants entrent aujourd’hui dans cette catégorie. 
La détection de l’hyperactivité et son traitement font actuellement  l’objet de controverses médicales.Trouble du comportement  ou trouble neurologique ? Sur le plan neurologique, certains invoquent le déficit de dopamine, un neurotransmetteur. 
Certains invoquent les facteurs alimentaires dans le déclenchement de ces troubles : sucres rapides, colorants, conservateurs, pesticides,  sont fréquemment mis en cause. On a en effet constaté à l’aide d’études très sérieuses que le sucre ingéré à hautes doses par exemple, provoquait une agitation anormale, or le sucre a envahi tous les aliments que nous consommons ou presque. Les enfants sont les premiers à en subir les conséquences.

Peut-être peut- on aussi invoquer le stress de la vie quotidienne, le bruit qui nous entoure, la multiplication des appareils électriques dans l’environnement, l’invention du téléphone portable, l’agitation infernale dans les grandes villes, la vitesse, le nombre de sollicitations visuelles, auditives, etc. 


LA RITALINE : (Méthylphénidate) : LA PILLULE DE L’OBEISSANCE

Dans une grande majorité des cas, l’enfant ou l’adolescent hyperactif est dirigé   vers un neurologue qui prescrit de la Ritaline, le médicament miracle.
ll s’agit en fait d’amphétamines et la Ritaline figure sur la liste des stupéfiants, c’est donc une drogue.
Il y a  quarante ans,  les sportifs consommateurs d’ amphétamines pour améliorer leurs performances étaient considérés comme des drogués et étaient passibles de prison. 
Bien  que l’on prétende que la Ritaline ne provoque pas d’accoutumance, ce qui est faux, au bout d’un certain temps, on est obligé de prescrire généralement des produits “plus forts”. 
Ce produit a certains effets secondaires qui n’ont pas encore été très bien définis mais aux Etats-Unis, les études ont recensé déjà un certain nombre d’enfants décédés suite à un arrêt cardiaque à la suite de la prise de Ritaline !
Personnellement, parmi les nombreux cas d’enfants auxquels j’ai été confrontée dans mon travail, l’un d’entre eux avait fait une bouffée délirante, suite à la prise de cette drogue et avait dû être interné en hôpital psychiatrique !

On a choisi actuellement de droguer une génération entière de jeunes soit-disant” non conformes”.  Les laboratoires pharmaceutiques qui fabriquent ces produits ont bien entendu  intérêt à les écouler de façon massive. D’ailleurs étrangement, dans certains pays comme à Hong Kong,  la Ritaline n’est pas encore au programme, alors qu’aux Etats-Unis, elle est très répandue, comme en Israël d’ailleurs.

Comme le précisent bien une grande partie des parents d’enfants hyperactifs:”Depuis que mon enfant prend de la Ritaline, il peut enfin rester assis à l’école”. Dans ces quelques mots, on entend le soulagement. Enfin, tout est rentré dans l’ordre! Soulagement  des parents mais aussi des professeurs qui n’ont plus les moyens de se défendre face aux enfants. 
Il n’y a plus de discipline, l’autorité a disparu, les enfants ont pris le pouvoir, l’enfant ou l’adolescent ne craint plus rien. Donc dans un lieu où tout est permis, pourquoi ne pas en profiter ?  Les enseignants sont épuisés:“Droguons les tous et on aura la paix !” disait un maître en plaisantant bien qu’actuellement cela ne soit plus du tout une plaisanterie, mais une réalité.
Le seul moyen pour “mater” les indisciplinés ou les agités reste encore cette fameuse pillule. 

Malheureusement, ni  la médecine, ni la psychologie n’ont réussi à mettre le doigt sur la véritable cause de cette hyperactivité et on traite le trouble d’une manière symptomatique.
En Thérapie pourtant, on connait depuis longtemps l’une des causes essentielle de l’hyperactivité qui est soignée et soulagée “naturellement”. 
Dans mon cabinet de consultation, j’ai personnellement traité de nombreux cas d’hyperactivité et cette donnée s’est toujours vérifiée à 100%.

Pourquoi l’hyperactivité ? C’est très simple : Le cerveau inconscient de l’hyperactif est en permanence branché sur un problème non résolu et continue de tenter de le gérer sans succès. Il lui est impossible de décrocher. Il est coincé. C’est comme un disque qui tourne sans fin dans l’inconscient.
Donc, l’hyperactif  n’est pas là, pas présent, pas actif, si j’ose dire. 
C’est la cause première du manque de concentration. Le cerveau est ailleurs, absent,  préoccupé, bloqué dans une histoire que nous sommes obligés de découvrir et de travailler avec les parents de l’enfant afin de découvrir les racines du mal. 
Il est impossible à l’hyperactif de rester tranquille alors qu’inconsciemment,il vit un trouble profond. Cela se passe exactement comme lorsqu’on  est dans une très grande angoisse, il  est alors impossible de rester sereinement assis ou de se concentrer.  On est affolé, on court d’un lieu à l’autre. C’est précisément le tableau des sympômes de l’hyperactivité.
Personnellement et à la grande surprise des parents, je ne rencontre jamais les enfants hyperactifs car ils ignorent tout le pourquoi de leur problème qui est caché dans l’inconcient. Le travail se fait exclusivement avec les parents qui possèdent quant à eux la mémoire familiale. Inutile de préciser que les fleurs de Bach sont aussi une thérapie 100% naturelle et que ces deux traitements conjoints donnent des résultats fantastiques.




QUELQUES CAS :   

Brigitte, une adorable jeune fille de vingt trois ans se plaint d’hyperactivité. Selon elle, sa vie est gâchée d’avance par ce symptôme. Elle subit depuis des annnées le diagnostic de TDAH comme une malédiction qui la disqualifie à vie. Elle a du mal à étudier et elle m’affirme qu’ elle est sûre qu’elle n’arrivera jamais à se marier.
Nous plongeons dans le passé de sa famille pour rechercher le drame et nous le trouvons immédiatement. Brigitte a perdu son grand-père, un soldat jeune marié dans la guerre des six jours en 1967. La fille de ce soldat, la mère de Brigitte était âgée de deux mois.  D’ailleurs il lui a donné un prénom étrange qui a étonné tout le monde et qui signifiait :”Tu seras toujours heureuse”.  On aurait dit qu’il pressentait qu’il allait mourir et qu’il  donnait à sa fille un programme de vie de bonheur, comme pour conjurer le fait qu’elle allait grandir sans père.  

En résumé, le cerveau de Brigitte est toujours branché, depuis sa naissance sur ce drame épouvantable qui l’empêche de vivre sa vie. Elle est en lien avec ce grand-père et pour faire “revivre le mort”symboliquement et le “faire bouger” elle a pour tâche inconsciente de gigoter en permanence. Elle a été mandatée par son clan pour rappeler le souvenir de ce décès injustifié et injustifiable d’un jeune homme et c’est ce qu’elle fait avec application. 
Après une explication très détaillée, elle a parfaitement compris le problème. Elle a ressenti d’ailleurs que quelque chose s’éclairait dans sa vie car elle portait depuis toujours le poids de ce drame sans le savoir. Quelques séances de psychothérapie ont suffi à la libérer complètement. Six mois après, elle téléphone pour m’annoncer  qu’elle a réussi tous ses examens et me demande mon adresse pour m’envoyer son faire-part de mariage.


JOHN ET SCARLET :
Un couple vient consulter car sur leurs cinq enfants, trois sont hyperactifs et sous médicaments. Nous recherchons ce qui s’est passé dans cette famille. L’exploration poussée ne donne rien. Nous évoquons toute la famille sans qu’aucun drame ne soit découvert. Nous passons en revue un à un tous les membres de la famille et ils se contentent de faire toujours non avec la tête, quand soudain, après une heure de vaines recherches, le mari s’écrie soudain quand je mentionne son père :”Mais oui; j’ai entendu que mon père a perdu sa petite soeur de quatre ans qui s’est noyée dans une piscine, mais je n’y pensais plus, c’est si loin ! Moi je ne l’ai pas connue !” Ce drame agite encore les enfants de cette famille, car il n’a jamais été soigné, ni guéri. Ces enfants hyperactifs témoignent qu’il s’est bien passé quelque chose de très grave, pratiquement oublié aujourd’hui. Grâce à leur symptôme, ils rendent à cette enfant disparue une place dans la famille.

SYLVIE :
Sylvie , une dame de soixante cinq- ans est dans une agitation extrême.  Elle me dit qu’elle est hyperactive depuis sa naissance. Elle ne tient pas assise et de plus, elle fume comme un pompier : trois paquets de cigarettes par jour!

Je lui demande s’il y a eu un drame dans sa famille et elle bondit :”Bien sûr”!
Figurez-vous qu’avant ma naissance, mes parents avaient une petite fille. Elle s’appelait Aimée et tout le monde l’adorait. Elle avait sept ans. 
Comme elle était indisciplinée, la maitresse l’a faite sortir de la classe, sous la pluie. L’enfant a attrapé une pneumonie. A l’époque, les antibiotiques n’existaient pas. Ca a été un drame  épouvantable. 

Moi je suis née quatre ans après. Un jour, par hasard, j’ai trouvé une photo de cette enfant: J’ai cru que cétait moi”! C’était mon portrait !

Je lui explique le lien qui existe entre elle et cette enfant, qu’elle est le témoin de ce drame et que son agitation et son manque de concentration font référnce à ce malheur. Elle est littéralement pétrifiée par cette révélation. Elle a compris le sens de ce symptôme qu’elle porte depuis sa naissance. Inconsciemment, elle cherche à faire revivre la petite Aimée.
Un mois après, elle me raconte que depuis cette sance, non seulement elle a réussi à se calmer, à s’assoir pour suivre une conférence, ce qui était impossible pour elle, mais qu’elle a  aussi arrêté de fumer du jour au lendemain !

D’une manière générale, lorsqu’on a enfin fait le lien entre l’hyperactivité et le drame, le patient ou ses enfants sont soulagés. Ils n’ont alors plus besoin de “mimer le drame” pour faire revivre le ou les morts.


CENTRE DE LA GUERISON PSYCHOSOMATIQUE A JERUSALEM
IRENE LANDAU  Biopsychothérapeute : 0522 083 666
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L' EDUCATION DES ENFANTS


COMMENT OBTENIR DE NOS ENFANTS CE QUE L’ON VEUT ?

IRENE LANDAU   BIOPSYCHOTHERAPEUTE

C’est une question délicate mais il me semble qu’il n’existe qu’une seule et unique manière d’obtenir de nos enfants ce que nous désirons, c’est d’entamer un dialogue avec eux dès leur naissance. En effet, en matière d’éducation, seul le dialogue est roi.
Si l’on parle à son enfant, qu’on lui explique le monde et la vie, qu’on aiguise sa sensibilité, ses émotions, son raisonnement, qu’on partage avec lui, à son niveau, bien entendu, on devient automatiquement pour lui un interlocuteur privilégié. 
Une fois que le dialogue est engagé, la confiance règne et l’amour s’installe. 
L’amour, c’est la communication d’âme à âme et alors tout devient possible. 
Il ne sert à rien de s’énerver, de crier, de vociférer, de frapper et d’exiger d’un enfant qu’il obéïsse au doigt et à l’oeil. L’enfant n’est pas un petit chiot que l’on peut dresser et auquel on peut donner des ordres en l’obligeant à faire toutes sortes de choses qu’il n’a aucune envie de réaliser. 
Le Dr Spock, célèbre pédiatre, expliquait qu’il est inutile de crier durant une demi-heure à son enfant d’aller se mettre en pyjama ou d’aller se coucher. Il est préférable de le prendre tout simplement par la main et de l’emmener tranquillement vers sa chambre, en lui parlant d’autre chose. Pourquoi provoquer des crises inutiles ?
Il ne faut jamais, au grand jamais, établir un rapport de forces avec un enfant, mais lui montrer qu’on le comprend et qu’on est son allié. C’est une erreur fatale qui détruit irrémédiablement la relation.Bien que les adultes aient tout pouvoir sur l’enfant, il leur faut instaurer un rapport d’égal à égal au niveau de l’intelligence.

Il est toujours essentiel d’expliquer à l’enfant ce que l’on désire et pourquoi, en s’adressant à lui avec sérieux et bonté, en faisant appel à son bon sens et à sa bonne volonté.L’enfant n’est pas un adulte en miniature, c’est une grande Nechama (âme) dans un petit corps, comme l’expliquait le Baal Chem Tov.

Si l’on n’a pas entamé le dialogue avec lui depuis toujours et si on ne lui explique pas gentiment ce que l’on voudrait qu’il réalise et surtout pourquoi, il est difficile d’obtenir quelque chose de l’enfant. Si on se contente d’aboyer des ordres d’un air supérieur, de lui renvoyer notre colère, nos sentiments négatifs et nos frustrations, il se butte et on ne compte plus le nombre d’enfants qui affrontent leurs parents avec fureur, qui rentrent en crise, qui rejettent tout et qui font exactement le contraire de ce que l’on voudrait pour eux. L’instauration d’un rapport de forces est déplorable. C’est la pire erreur éducative qui soit.
Les enfants se sentent alors inférieurs, maltraités ou ignorés, ils comprennent qu’ils n’ont pas leur place dans la vie de leurs parents. Si on ne leur parle pas, c’est souvent parce que les parents ne savent pas parler, ne comprennent pas qu’il faut parler, ne se donnent pas la peine de parler ou n’ont pas le temps de parler.
Il faut donc toujours dialoguer avec son enfant et si on lui donne un petit nom gentil, c’est encore mieux. Par exemple, si on prend l’habitude de dire “mon ou ma chéri(e) “ à un enfant, il se sent aimé et compris et il est pratiquement certain qu’on ne rentrera pas en opposition avec lui. Il faut faire  de l’enfant un allié et non un ennemi.
L’enfant dans sa nature profonde, a toujours envie de faire plaisir à ses parents et il faut savoir utiliser ce don merveilleux inné en lui.

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L'HYPNOSE


L’HYPNOSE : UN OUTIL THERAPEUTIQUE  EFFICACE

IRENE LANDAU              BIOPSYCHOTHERAPEUTE

De très nombreux problèmes de vie peuvent être soignés ou améliorés au quotidien dans le bureau du thérapeute, pour peu que la personne manifeste le désir de se rencontrer elle-même et d’accepter de faire ce que j’appellerais personnellement une “ouverture de conscience”.
Cela signifie en clair que quelle que soit la souffrance, il est essentiel d’accepter de rentrer en contact avec son inconscient afin d’améliorer son état. Il existe de très nombreux cas où la simple conversation avec le “psy”, habitué à lire entre les lignes et à traduire en clair le vécu inconscient, suffit à apporter une amélioration à l’état du patient.

Mais il existe des cas où le blocage est tellement fort qu’il devient urgent d’utiliser dans un second temps d’autres outils thérapeutiques, comme l’hypnose par exemple.
Dès que l’on évoque l’hypnose, les yeux du patient s’agrandissent et il imagine déjà que l’on va avoir recours à une sorte de magie qui va le transporter dans un monde différent et le guérir instantanément. Pourtant, le thérapeute, même s’il possède des outils efficaces de transformation, ne doit pas être confondu avec un magicien.
Il est vrai que l’hypnose est un outil puissant qui permet de franchir aisément la barrière de la conscience, pour avoir un accès facile à l’inconscient et opérer alors des modificatons. Les patients pensent qu’ils vont être endormis, alors qu’il n’en est rien. Durant la séance d’hypnose, la personne reste complètement éveillée, même si elle rentre dans un état de transe, c’est-à-dire de conscience légèrement modifiée.

Ce qui est passionnant, c’est, aussi bien pour le patient que pour le thérapeute, de découvrir que notre inconscient voit tout et connait tout. C’est -à dire qu’il est en mesure  de faire apparaître la carte complète de nos blocages, de nos dysfonctionnements, de nos maladies et aucun détail de notre vie ne lui est caché.Il possède toutes les données de notre existence présente et passée, dans une fantastique mémoire parfaitement clairvoyante.Il arrive parfois d’ailleurs qu’un patient particulièrement sensible régresse instantanément vers le passé et décrive ses vies antérieures. C’est aussi l’une des possibilités de l’hypnose qu’on peut utiliser, car parfois le problème du présent provient d’une vie  passée.

Même si toutes les solutions se trouvent à l’intérieur de nous, nous n’y avons pas forcément un accès immédiat habituellement. Et c’est là qu’intervient l’hypnose. Grâce à quelques inductions hypnotiques, le cerveau entre dans une sorte d’état second, où le subconscient est réveillé et le conscient logique en partie endormi, si l’on peut schématiser. Cela signifie que nous pouvons soudain avoir accès à des données qui nous sont d’habitude celées et parfois les transformer. Tout cela dans dans un état d’éveil absolu, même si nos perceptions sont légèrement modifiées à ce moment. Il nous est donc possible de vivre tout cela “en direct” et de pouvoir accéder à des informations non disponibles dans notre vie quotidienne. Notre subconscient voit tout et connait tout et surtout la vérité sur nous-même.
L’hypnose est une méthode d’accès à un état mental différent, ce qui nous permet d’utiliser mieux nos richesses intérieures. En fait, en état d’hypnose, on se débranche du quotidien et de la réalité qui nous entoure, on lâche prise pour pénétrer dans notre monde intérieur. Les habituelles critiques de notre mental sont suspendues et on utilise alors pleinement nos facultés de vision et d’’imagination. Cela signifie que dans l’état d’hypnose, la personne rentre en elle-même et commence à visionner son monde intérieur, alors que d’habitude, sa conscience est surtout tournée vers l’extérieur. L’état d’hypnose implique une réceptivité accrue et une sensibilité plus grande à la suggestion du thérapeute. La censure intellectuelle et logique qui nous est habituelle dans un état de conscience normal, n’intervient pas. Par contre, la conscience morale est toujours présente et le thérapeute ne peut à aucun moment imposer au patient  quelque chose qui ne lui convient pas.
En fait l’hypnose permet d’avoir accès à une zone spécifique de stockage des informations dans notre cerveau. En effet, lors par exemple d’un traumatisme, l’état ordinaire de conscience se modifie. Lors d’un choc, il se produit une sorte de dissociation  au niveau du corps, mais aussi de l’esprit. La mémoire prend alors cette donnée et la stocke dans une zone spéciale pratiquement inaccessible, ce qui fait qu’une fois la conscience revenue à la “normale”, nous n’avons plus accès à ces informations spécifiques. A cela se rajoute un très grand stress qui freine l’accès au données et aux informations.C’est la raison pour laquelle lorsqu’on interroge un patient afin de savoir ce qui s’est exactement passé lors d’un grave traumatisme, il arrive souvent qu’il éprouve une grande difficulté à s’en remémorer les détails. En particulier, des chocs vécus dans l’enfance sont parfois entièrement  engloutis dans les tréfonds de la mémoire et oubliés.
Ce n’est qu’en modifiant l’étal habituel de conscience que l’on a de nouveau la possibilité d’entrer en conctact avec ces traumatismes et de les recadrer. En effet, ce qui est important, c’est non seulement de faire surgir les souvenirs mais surtout de transformer au positif les données auxquelles l’hypnose nous donne accès. Ce sont toujours des trésors de vérités enfouis que l’on redécouvre et sur lesquels on travaille  lors de la transe hypnotique.

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EVACUER LE STRESS


COMMENT EVACUER LE STRESS ?

IRENE LANDAU     Biopsychothérapeute

Lors des nombreuses conférences que je donne, je pose souvent la question de savoir ce qui nous rend malades et invariablement, de nombreuses personnes répondent toutes ensemble, d’une seule voix, spontanément : “C’est le stress” !

En effet, le stress est devenu une composante omniprésente de notre existence. Le stress est partout : Il est causé par le bruit incessant qui nous environne, les téléphones portables qui ne cessent de sonner, les conversations à voix haute, dans la rue, le bus, et même à la synagogue en pleine prière. Le stress est aussi causé par notre rythme de vie que certains qualifient “à l’américaine”: Surtout rester actifs en permanence, ne jamais s’arrêter d’agir, de courir, de travailler, de fonctionner, le jour et parfois aussi une partie de la nuit. 
Le stress est aussi causé par nos nombreuses obligations: aller travailler, passer du temps dans les transports en commun ou dans les embouteillages, s’obliger à aller faire du sport dans une salle de sport, comme si l’on n’en faisait pas assez dans la vie quotidienne, s’occuper de ses enfants, de sa famille, courir aider son prochain...et ainsi de suite. Il est intéressant de faire une liste de ses stress personnels, comme nous le faisons parfois en thérapie. 

Le stress a pourtant deux côtés, il y a le “bon stress”, celui qui nous fait nous lever le matin à toute vitesse avec la conscience que nous avons de nombreuses tâches à rempir dans notre journée et le “mauvais stress”, celui que nous subissons sans pouvoir nous en défendre, qui nous use et peut nous faire tomber malade, si nous le vivons sur une longuepériode et surtout dans l’isolement, sans pouvoir en parler à personne.  Parfois, nous le supportons sans même en avoir réellement conscience et il agit  en continu et en silence dans les souterrains de notre inconscient.
C’est pourquoi, en thérapie, lorsque l’on pose au patient la question de savoir ce qui le stresse particulièrement, certains répondent spontanément : “Je ne sais pas, tout va bien”.  En effet, pour certains “tout va bien “, mais seulement en apparence, car si l’on commence à faire un travail de prise de conscience avec le ou la patiente, on s’aperçoit que finalement, “rien ne va plus”.  
Il faut savoir que sous une apparence calme et équilibrée, certaines personnes souffrent le martyre silencieux à l’intérieur d’elles-même sans même oser en parler.  
Tous les ressentis négatifs peuvent être refoulés au maximum. Lors d’un travail en profondeur, on découvre parfois de nombreux  secrets inavouables, des chocs et des traumatismes bien dissimulés qui continuent d’agir pourtant et de miner la personne et sa santé. En effet, lorsqu’il nous est impossible d’évacuer notre stress, notre souffrance intérieure stagne et fermente et est susceptible de nous rendre malades, tout simplement.

COMMENT DETECTER ET SOULAGER NOTRE STRESS ?
Pour l’évacuer, il faut commencer par en prendre conscience.Tel ou tel évènement dramatique, n’a par exemple jamais été oublié dans la profondeur de notre conscience, mais le patient affirmera que “cela s’est passé il y a bien longtemps, je n’y pense même plus !” Pourtant, à l’évocation de certains drames qui ont eu lieu il y a trente ou quarante ans, certains patients fondent en larmes ! La poche de tristesse, le choc, n’ont jamais été exprimés et le stress a continué d’être présent et d’agir en sourdine.
On le comprend bien aujourd’hui, la  meilleure façon d’évacuer le stress est de le verbaliser. Il est essentiel d’en parler.C’est la raison pour laquelle, lors d’une psychanalyse, nous repassons avec le patient sur les nombreux évènements qui ont jalonné sa vie et bien souvent, nous découvrons des “poches conflictuelles” jamais  détectées. Elles se présentent vraiment comme des lacs souterrains, toujours présents  jamais mis à jour et jamais évacués.L’eau devient saumatre, elle sent mauvais, elle empoisonne l’atmosphère.
C’est ainsi que même si nous savons de nos jours que les maladies sont causées par des conflits et des chocs viiolents, nous ne pensons pas toujours que ces chocs ne sont que l’écho d’une ancienne douleur, subie dans l’enfance, dans la jeunesse.
Je pense par exemple à une patiente qui vivait sous la domination d’une mère très autoritaire qui lui dictait sa conduite et la terrorisait.  
En revivant la même sorte de choc récemment dans son travail avec un patron qui ressemblait à sa mère comme deux gouttes d’eau, cette patiente est tombée gravement malade. En effet, le choc actuel a réveillé les stress de son enfance, dont elle n’avait jamais osé parler à personne et a déclenché sa maladie.
Malheureusement, bien souvent, nous savons qu’il s’est pasé certaines choses, mais nous ne les verbalisons pas, nous les tenons cachées comme dans une crypte secrète à l’intérieur de nous. En effet, notre profonde souffrance est souvent inavouable et c’est la raison pour laquelle nous préférons la tenir cachée. Nous avons peur de nous dévoiler et de montrer nos faiblesses, nos blessures. Nous préférons les refouler, les nier, affirmer, que  c’est du passé, cela ne compte plus, etc. au risque d’en faire une maladie. C’est aussi une forme de pudeur ou de honte envers notre entourage. Nous ne désirons pas éveiller de vieilles rancunes, de vieilles histoires, de vieux conflits, si soigneusement enterrés.
Quoiqu’il en soit, que nous soyons coupables, victimes, ou simplement en souffrance, c’est toujours la peur du regard de l’autre et parfois la peur de la sanction qui nous freinent. C’est souvent la cause de nos symptômes et ce qui nous empêche d’en guérir. Il est souvent préférable de soulager sa conscience et de nous libérer de ces tensions qui nous obsèdent à notre insu.
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UNE SEANCE DE THERAPIE


UNE SEANCE DE THERAPIE

IRENE LANDAU  /   BIOPSYCHOTHERAPEUTE
On m’interroge souvent, avant de prendre rendez-vous, sur la façon dont se déroule une séance de thérapie, c’est la raison pour laquelle j’aimerais ici décrire ce processus bien particulier.
Personnellement, lorsque je reçois quelqu’un, je fais table rase du monde entier. Plus rien n’existe alors en dehors de la détresse de l’être humain qui se trouve en face de moi. En effet, il est essentiel dans le travail thérapeutique de se brancher littéralement et exclusivement sur le ou la patiente dans une sorte de connection de cerveau à cerveau, car ce n’est qu’ainsi qu’il devient possible de recevoir les messages signifiants et de comprendre en filigrane, l’histoire véritable, les non -dits, les ressentis intimes du patient. Il faut bien comprendre que le thérapeute se met toujours tout naturellement durant la séance dans un état de transe, plus ou moins profonde, c’est -à-dire un état de conscience modifié, afin de pouvoir plonger dans la conscience et dans l’inconscient de la personne en demande.
L’état de transe ou de conscience modifié est un état qui nous est naturel et dans lequel il est posible de plonger à chaque instant. Lorsqu’on lâche prise sur la réalité qui nous entoure afin de laisser notre mental prendre les commandes tout seul, on se trouve dans cet état. Ce n’est qu’ainsi qu’ainsi que le thérapeute se transforme en détective afin de capter la profondeur de l’âme et la demande véritable de l’être humain en souffrance. Chaque personne a son programme autonome dans lequel elle fonctionne et dans lequel elle s’est parfois enfermée jusqu’à l’étouffement. 
Le but de la thérapie est de détecter, d’appréhender, de diagnostiquer, mais aussi et surtout de remettre de l’ordre dans les cablages et les circuits intérieurs du patient. Car c’est toujours une impression de malaise, provoquée par un grand désordre intérieur qui perturbe sa vie, qui amène la personne à consulter un thérapeute. L’approche du thérapeute consiste à ramener à la conscience, en les épurant du stress qui leur est attaché, les liens qui existent entre la manifestation d’un déséquilibre  psychique ou physique et sa source.
En effet, bien que le patient ne le perçoive pas, tout a un sens et le travail essentiel du thérapeute consiste à “faire des liens signifiants”, là où le patient ne perçoit qu’une quantité informe d’informations dont il ne comprend pas le sens véritable. Il s’agit de retrouver les conflits, les traumatismes, les rêves oubliés, afin de l’aider à dénouer son problème.

Il faut ramener au conscient ce qui n’est qu’une masse conflictuelle inconsciente qui provoque les symptômes. 

Pour guérir, il est essentiel de faire ressurgir l’émotion refoulée liée au ressenti inscrit dans la personne, ressenti qui découle de la  façon dont elle a chargé en stress sa biologie, en vivant un évènement traumatisant antérieur.
Le thérapeute va permettre à la personne en souffrance de sortir de sa prison émotionnelle, de rechercher sa libération. Est prison tout ce qui enserre l’âme, tout ce qui brime, rétrécit, étouffe l’être humain et empêche son fonctionnement normal, son expansion naturelle, son épanouissement. Le but de la thérapie est de retrouver une respiration intérieure, un élan, une spontanéïté. Malheureusement, il nous arrive à tous de nous enfermer dans un comportement fossilisé, dans de vieilles habitudes du passé qui nous paralysent. On devient alors robotisé, crispé, souffrant, on perd sa joie de vivre et sa liberté naturelle pour entrer dans un monde de souffrances physiques et psychiques. La guérison est toujours une prise de conscience. Il est important, après avoir détecté le noyau durci, figé d’informations oubliées dans le passé, de le diluer, de le déplacer, afin de faire littéralement revivre celui qui souffre. Dans notre vie, il existe des prisons camouflées, des prisons affectives, comme la culpabilité, les peurs, les angoisses, le stress. Pourtant, en chacun de nous se trouve aussi une merveilleuse lumière, une vocation intérieure, une mission de vie, dont nous devons prendre conscience grâce à une recherche spécifique.La thérapie est avant tout un dialogue à un niveau parfois subliminal.
Nous vivons trop souvent sur la planète taire” disait Françoise Dolto. Les problèmes psychologiques, aussi bien que physiques sont causés par une charge d’énergie inconsciente, extrêmement importante, qui doit obligatoirement trouver une porte de sortie. C’est pourquoi en compagnie du thérapeute, on peut réaliser nos sensations et nos émotions et les redistribuer à l’extérieur le plus rapidement possible afin de libérer les symptômes qui nous figent, nous étouffent et nous empêchent de fonctionner d’une manière optimale.
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