jeudi 20 mars 2014

LA THERAPIE


LA THERAPIE  

IRENE LANDAU               Biopsychothérapeute

Si tout le monde sait ce qu’est la médecine, on sait moins en quoi consiste la thérapie. Thérapie vient du mot  hébreu : “Tiphéret”, la splendeur, qui a été repris ensuite en grec ou ”therapeia “ signifie  : “des soins”. Mais de quoi s’agit-il ?
La thérapie est un moyen de traiter, de soulager, de soigner les malaises psychiques ou physiques. 
Si la médecine conventionnelle s’adresse en priorité au corps, qu’il considère plus ou moins comme une machine sophistiquée, la thérapie s’adresse avant tout aux soins de l’âme. En effet et ce n’est pas nouveau, car dans l’antiquité c’était une évidence, l’être humain n’est en réalité qu’une âme dans un corps. Ces deux parties sont inséparables l’une de l’autre et c’est devenu aujourd’hui une donnée incontournable, en thérapie, qu’il est impossible de soigner un corps sans soigner l’âme qui l’habite, bien que cela soit malheureusement devenu une pratique courante de nos jours en médecine. 

TOUS LES MALAISES ET LES MALADIES DU CORPS NE SONT EN REALITE QUE DES MALAISES DE L’AME
Lorsqu’on souffre d’une partie de son corps, c’est l’âme qui est en souffrance. Déjà Maïmonide, le fameux médecin juif du onzième siècle le mentionne en expliquant clairement qu’il faut toujours considérer le moral du malade. Le Ramhal, Rabbi Haim Luzzato, (1707-1747), explique  lui aussi parfaitement dans son livre “Daat Tevounot” “Les voies de la direction divine “que le corps et l’âme sont inséparables.
Lorsqu’on voit, grâce aux yeux, c’est l’âme qui voit, lorsque l’on entend, c’est l’âme qui entend,etc. et qu’un corps que l’âme a quitté est comme un récipient vide. 
Cela signifie qu’il est essentiel de considérer ce qui se passe profondément en nous, du côté de notre âme, lorsque l’on souffre. 
Certaines personnes pensent que la thérapie est uniquement réservée aux maladies définies plus précisément comme celles du psychisme, comme par exemple la tristesse, la dépression, l’angoisse,etc. Pourtant, il n’en n’est rien. 

Depuis une trentaine d’années, on a découvert avec une précision scientifique, que toutes les maladies trouvent leur origine dans les conflits, les chocs, les émotions négatives qui nous habitent. Freud évidemment, avait déjà largement  ouvert la voie, mais de nos jours, on a été beaucoup plus loin ! On a établi une grille exacte et incontournable des différents conflits et des maladies exactes qu’elles provoquent  avec leur localisation précise ! C’est ainsi par exemple qu’un cancer du sein droit n’est pas provoqué par le même conflit qu’un cancer du sein gauche ! 
En partant de ces données, il devient possible de venir en aide aux malades en retournant avec eux dans le choc qui les a fait entrer en maladie et en tentant de les en faire sortir.  

AUSCULTER L’AME DU MALADE ET SES RESSENTIS
Tous les malaises et toutes les maladies ayant pour origine les chocs et conflits qui nous obsèdent, consciemment ou inconsciement, on réalise alors facilement qu’il il devient urgent de comprendre, de détecter et de désamorcer, ces ressentis négatifs, exactement comme pour une bombe à retardement qui se serait  soudain mise en marche dans notre corps.Tant qu’elle n’est pas désamorçée, la maladie continue d’évoluer. C’est la raison pour laquelle il est essentiel de se pencher immédiatement sur cet aspect du problème, sans attendre que la maladie ait fait des ravages et qu’il soit alors trop tard pour intervenir, comme c’est malheureusement souvent le cas.
C’est donc le rôle de la thérapie, d’être le complément de la médecine qui a laissé de côté actuellement cette partie pourtant fondamentale des soins.Autrefois, le médecin de famille venait ausculter le corps du patient mais il l’interrogeait aussi sur ce qui se passait dans sa vie. Aujourd’hui , ce n’est malheureusement plus le cas. C’est pourquoi la thérapie a été obligée de prendre le relais. 
La médecine conventionnelle, qui a pourtant fait des progrès prodigieux en une centaine d’années, se contente de dire au malade “Silence ! Taisez-vous ! seuls vos examens médicaux nous intéressent et parlent pour vous.”
Or il est clair que le malade a de nombreuses choses à raconter, pour peu qu’on prenne le temps de l’interroger. Derrière tout symptôme physique, il y a une grande blessure, une détresse, qui ne peut pas être exprimée par la parole et qui est donc obligée de s’inscrire dans le corps pour être entendue.Car en effet, il est pratiquement impossible de raconter , sauf à son thérapeute, que  l’on se sent impuissant, triste, désespéré, angoissé, que l’on ne peut compter sur personne, qu’on est isolé, que l’on souffre de peurs, d’obsessions,etc. 
Donc, il est préférable de  dériver la douleur dans le corps, sans même en avoir conscience, ca  là,  on a plus de chances d’être pris en compte. 
A partir du moment où une personne “ tombe malade” dans son corps,  il devient enfin possible de l’écouter, mais exclusivement dans sa douleur physique. On va enfin s’occuper d’elle. Cela va être le cortège d’examens, radios, prises de sang, IRM, etc. et on va aller examiner son corps, sous toutes ses coutures, mais pas son âme qui continue à rester en souffrance.  
C’est la raison pour laquelle on remarque souvent des récidives de maladies que le chirurgien a pourtant opérées, des plaies et des cicatrices qui ne guérissent pas, qui s’infectent, malgré tous les traitements, etc. 
C’est l’âme qui continue à tenter de s’exprimer car le conflit est toujours présent, malgré les interventions, malgré la prise de nombreux médicaments, malgré tous les soins prodigués au corps. Tant que la véritable souffrance n’aura pas été  détectée et prise en compte, il n’est pas toujours évident d’en finir avec les malaises du corps.
Un grand malade, récemment hospitalisé, exprimait son désarroi et sa déception du monde hospitalier en disant : “Il n’y a pas d’amour ici, tout est carré !”
En effet, l’hôpital est devenu un monde technique d’où l’amour , l’écoute et la compréhension, ont pratiquement disparu, au profit d’une technique froide et désincarnée. Rabbi Nahman de Breslev disait qu’en cas de maladie, le mieux était de courir en premier lieu chez le plus grand des médecins :  D'ieu pour prier et lui raconter sa douleur afin de tenter d e lui exprimer ce qui  nous fait vraiment mal.
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