jeudi 20 mars 2014

LA MENAUPOSE


LA MENAUPOSE N’EST PAS UNE MALADIE !

IRENE LANDAU Biopsychothérapeute

La femme traverse dans sa vie bien des périodes susceptibles de la destabiliser. La période de la ménaupose  en est une. En effet, il s’agit d’un moment de fragilité psychologique particulière dûe aux nombreux changements qui interviennent dans sa physiologie.
Les sécrétions hormonales diminuent progresivement jusqu’à l’arrêt du fonctionnement des ovaires.On évoque souvent les malaises qui sont susceptibles d’ accompagner la ménaupose : Bouffées de chaleur, troubles de l’humeur, dépression, troubles du sommeil, prise de poids, ostéoporose, problèmes cardio-vasculaire...
Pourtant, il faut savoir que de nombreuses femmes traversent cette époque presque sans ressentir de troubles et cela est dû à leur équilibre psychique et à leur façon d’envisager cette période délicate.

En effet, la féminité ne s’arrête pas à la ménaupose. Ce n’est pas parce qu’une femme n’est plus susceptible d’enfanter qu’elle en devient moins femme !
Conditionnée par les médias et les informations glanées autour d’elle, dans sa famille ou chez ses amies, il arrive que la femme, inconsciemment adopte les mêmes comportement que ses proches. Il faut comprendre que les symptômes de la ménaupose n’ont rien d’obligatoire et nombreuses sont les femmes qui ne prêtent même pas attention à cette baisse d’hormones et à ces transformations. 

Il existe sans aucun doute de nombreuses réactions différentes à la ménaupose. Les femmes profondément investies dans leurs travail au foyer et occupées au maternage sont parfois plus sensibles que les femmes qui travaillent à l’extérieur de la maison et qui ressentent la ménaupose comme un allègement .En effet, en ce qui concerne l’apparition des symptômes, tout dépend du ressenti. Certaines femmes ressentent le fait de ne plus pouvoir enfanter comme négatif, alors que d’autres au contaire ressentent un soulagement.
En fonction de la représentation que la femme se fait de la ménaupose, elle la vit d’une manière positive ou négative. L’exemple familial et surtout maternel est bien souvent omniprésent . Si sa mère a souffert de symptômes à la ménaupose, la femme peut être tentée inconsciemment de les reproduire. C’est en prenant conscience, lors de la  thérapie qu’elle est en train d’imiter sa mère ou ses tantes, par exemple et que cela n’a rien d’obligatoire, que la femme souffrante verra  ses symptômes s’alléger.

DES BLESSURES DE L’AME
Durant la jeunesse, nombre d’émotions sont refoulées au second plan. On n’a tout simplement pas le temps d’y prêter attention. La  jeune femme, occupée avec ses enfants et sa famille vit plus ou moins dans un tourbillon.Elle peut aussi s’être investie dans une carrière, un travail qui l’occupe à plein temps, ou même les deux à la fois.

Heureusement, de nombreuses femmes ne subissent plus les inconvénients de la ménaupose dans la passivité. Nombreuses sont celles qui prennent enfin le temps, aiguillées par leurs malaises de vienir consulter à cette période pour tenter de comprendre ce qui leur arrive, car comment expliquer que la baisse hormonale rende certaines femmes littéralement malades, alors que d’autres ne la remarquent pratiquement pas ? C’est l’inconscient qui mène la danse et c’est l’image que la femme a d’elle-même qui l’influence fortement. En effet, la ménaupose n’est pas une maladie. Si on a tenté de pallier pendant un certain temps à la baisse des hormones par la prises d’hormones de synthèse, le corps médical s’est vite aperçu que cela était dangereux. Depuis des milliers d’années, les femmes ont vécu leur ménaupose “naturellement” et c’est sans doute la meilleure façon de la vivre. Pourtant, il existe des solutions efficaces en thérapie pour soulager les malaises.


La période de la ménaupose correspond plus ou moins avec le départ des enfants du foyer et en même temps que son corps se transforme, la femme se retrouve en cette période de transition, confrontée à elle-même dans une plus grande solitude. L’enthousiasme de la jeunesse a fait place à une période plus calme.
De nombreux ressentis sont alors susceptibles d’assaillir la femme fragilisée : En général, une sensation de rejet, une baisse de la confiance en soi et une certaine dévalorisation sont ressenties par la femme qui commence aussi en même temps à se sentir moins belle. En effet, la peau s’assèche, la masse musculaire fond peu à peu, les rides s’installent, une certaine lassitude ou une tristesse se fait jour.
C’est le moment de faire le point sur sa vie et qu’on le veuille ou non, commence alors une certaine remise en question. C’est à ce moment que les symptômes sont susceptibles de s’installer, jamais par hasard, mais en fonction du ressenti.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que le véritable problème de la ménaupose n’est pas tant la baisse des hormones, qui est réelle, que le nombre d’émotions refoulées qui surgissent à ce moment clé de la vie. C’est la période où de nombreuses blessures de l’âme qui n’ont pas été détectées et n’ont donc pas pû être guéries jusque là , ressurgissent et sont susceptibles de provoquer les troubles évoqués plus haut. En effet, les blessures de l’âme se transforment presque toujours en symptômes au niveau du corps.
Il est important de comprendre que chaque symptôme s’installe en fonction des émotions ressenties. C’est pourquoi certaines femmes se plaindront exclusivement de bouffées de chaleur, alors que d’autres souffriront d’insomnies ou de dépression. Il est essentiel de travailler au niveau émotionnel pour retrouver son équilibre.
C’est pourquoi un travail d’accompagnement et de guérison des blessures intérieures rendront à la femme son rayonnement naturel et son équilibre.
A part le travail de réharmonisation émotionnelle, on traitera aussi les désagréments grâce aux fleurs de Bach qui sont aussi préparées en fonction des diverses émotions ressenties par la personne. 
IRENE LANDAU : COACHING ET THERAPIES  :  0522  083 666 
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